Riscos nas Fronteiras da Vida (e da Morte)

Risques aux frontières de la vie/Riscos nas fronteiras da vida (e da morte)/Risks on the frontier of life (and death)

Oscar Calavia Saez (Anthropologue, UFSC, Florianópolis) “Le Mort Graphomane et l’Indienne Maléfique: la vie quotidienne des dichotomies au Brésil” .

Emma Scott (PhD candidate JCU/TransOceanik): « Spirits and the Psyche: An Exploration of the Materiality of Spirit Beings in Amerindian and Scientific Imaginations »

Evelyn Schuler (anthropologue, UFSC, Florianópolis) e Alfredo Zea (editeur, Florianópolis): O ter a ver e o clamor dos mortos: notas a partir de motivos visuais waiwai  (PP em français – Avoir a voir et la clameur des morts: notes à partir de motifs visuels waiwai)

Telma Camargo da Silva (anthropologue UFG, Goiânia) Subjective experiences and bio-scientific classifications of the Goiânia radiation disaster´s victims: identities constructed in the interplay betweensilence and agency”

Renato Athias (anthropologue, UFPE, Recife)– Patrimonialisation de la « maloca »: objets rituels indigènes dans les musées au Brésil et en Europe (PP em portugais -Patrimonialização da « maloca »: objetos indígenas ritualisticos em museus no Brasil e na Europa)

  • Résumé
    Cette présentation est sur la Maloca (Maison Comunale) et les objets et pièces rituelles, entre les peuples Yepa-Masa, de l’Alto Rio Negro et est basé sur un long travail de terrain effectuer dans cette région. Il a également des aspects de muséalisation de ces objets et les processus de “patrimoinization” par ides institutions brésiliens, en insistant sur la relation entre les Amérindiens et les musées. La Maloca est présenté dans la littérature ethnologique comme maison communale, et surtout comme un modèle d’organisation sociale elle-même et le cosmos. Dans ce scénario, se trouve la maloca et elle est nommé dans cet espace et conceptions manifestes et les pratiques chamaniques spécifique à chacun des clans Yepa-Masa. Par conséquent, chaque Maloca est nommé et disposé dans l’espace géographique, toute la région du Rio Negro, pour les générations de mythes et d’histoires de vie de chaque clan racontés. C’est- a dire, Il n’ existe pas une Maloca générique. Le travail présenté dans cette présentation met l’accent sur les récits par les Indiens de la partie supérieure du Rio Negro en essayant de présenter le symbolisme dans cette construction, largement utilisé par les groupes autochtones aujourd’hui. La présentation vise à placer certains éléments clés du débat sur “pratrimonilizacão” des objets et des lieux autochtones et discute de la circulation des objets indigènes dans les musées et les relations de ces objets pour les musées publics, cherchant à faire l’interface avec les aspects chamaniques et rituels et dans le cadre des savoir traditionnelles de ces personnes dans cette region.